Questions que pose un citoyen aux autorites de son pays.

  • Time to read 2 minutes
SARS-CoV-2

SARS-CoV-2, le 11 août 2020 National Institute of Allergy and Infectious Diseases

Selon la DASS, au 18 octobre 2021, le bilan sanitaire lié à la crise du COVID en Nouvelle Calédonie s’établissait comme suit :

 « Parmi les personnes décédées, 80,2% (166) n’étaient pas vaccinées, 13% (27) avaient une vaccination partielle et 6,8% (14) une vaccination complète »

Ces chiffres ont le mérite de montrer que le vaccin ne constitue en aucun cas une garantie contre les cas graves de covid ni même les décès, contrairement à ce qu’on tente de nous faire croire à longueur de journée. De plus chacun sait aujourd’hui que le vaccin n’empêche ni d’être contaminé, ni de transmettre le virus, et que l’immunité collective est donc un leurre comme on peut le constater dans certains pays fortement vaccinés comme Israël ou l’Islande.

Comment peut-on dès lors, en âme et conscience, sur la base d’avis médicaux et d’études qui ne font pas consensus, imposer d’injecter à des personnes sans leur consentement ou de se faire injecter un produit, qui n’est pas un vaccin, dont on ne connait pas la composition, ni l’efficacité réelle dans la durée, ni les effets secondaires à moyen et long terme, pouvant conduire au décès ?

Comment peut-on dans ces conditions infliger à des personnes qui refusent de se faire vacciner des sanctions graves sous forme d’amende (175 000 cfp) des suspensions de contrat, des pertes de salaire et casser des jeunes en les mettant au chômage, alors qu’ils se sont battus pour avoir une qualification et une place dans la société ?

Comment peut-on, sous couvert d’urgence sanitaire, au mépris des règles et des principes de droit les plus élémentaires (par exemple, le droit de disposer de son intégrité physique) porter si gravement atteinte à la liberté individuelle et au secret médical ?

Comment peut-on exiger notre confiance quand des informations auxquelles nous avons droit sont occultées, quand la politique de santé publique se décide à huis clos, quand le discours dominant est entaché d’opacité, que ceux qui émettent des réserves ou expriment leur opposition sont ignorés, marginalisés ou traité de complotistes ?

Dans un pays divisé à la recherche d’un destin commun, comment peut-on instaurer des mesures discriminatoires et d’exclusion comme le passe sanitaire, qui génèrera des tensions au sein des familles et des communautés et condamne une partie importante de la population à être marginalisée et devenir des parias ?
Au moment de la cession de l’usine du sud, nous nous sommes mobilisés parce que la cause de la stratégie nickel Pays nous paraissait légitime et juste. Aujourd’hui certains qui étaient sur les barrages sont au Congrès et au gouvernement et nous nous mobilisons pour le retrait de la Délibération n°44/CP du 3 septembre 2021 instaurant l’obligation vaccinale, ainsi que les mesures réglementaires sur le passe sanitaire, parce que ces dispositions qu’ils ont validées constituent une grave atteinte aux droits, une source de tension et de discrimination inacceptable, des mesures économiquement contre productives, et en contradiction flagrante avec les valeurs de bienveillance, de respect et de solidarité que nous nous sommes toujours efforcés de promouvoir.